Soirée chez mes voisines les bédouines... On s'éclate à fond les manettes Dahab style.

Samira (à dr.) est adorable et cuisine excellemment, elle ne fait d'ailleurs pas grand chose d'autre je crois. A la mort de son père, il y a quelques années, sa famille a expulsé sa veuve et ses filles de leur ancienne maison en bord de mer, en plein milieu de la lagune. Je ne sais pas de quoi elles vivent depuis, mais elles mangent bien et n'hésitent pas à inviter des étrangers à partager leur repas, comme ça. Elles portent des montres que leur ont donné des visiteurs de passage et qui ne marchent plus, ce qui ne semble pas les géner. Elles passent parfois chez nous et on regarde un film sur mon laptop en buvant du thé. Après quelques sueurs froides à se demander ce que cette familiarité cachait et ce qui allait nous tomber sur la tête (dans un pays où femmes et hommes vivent dans deux mondes parallèles et clos), on a fini par s'y faire. Les bédouins ne sont pas les Egyptiens, d'ailleurs ils se détestent mutuellement.
A droite «Big Tom» Steiner, boss de Fantasetec. 
Un site potentiel? Neil le DM arrivé la veille de Londres (Fantasea est totalement anglophone) est désigné volontaire pour aller jeter un coup d’œil en snorkel. Je suis ravi qu’il soit là, puisque sinon ce serait certainement à moi d’y aller. 
Son verdict est sans appel: «it’s bullshit!». On réembarque et on repart. 
Sur le toit de la jeep.
Cette baie semble ok, selon les pros, même si elle est strictement semblable à la dizaine d’autres qui l’ont précédées.
Les bédouins sont capables de cuire un repas succulent pour dix personnes avec trois brindilles. Honnêtement, je ne sais pas comment ils font. Avec le t-shirt rouge, Tom Smith, formellement mon instructeur (même si je ne le vois pas beaucoup). 
Sur le chemin du retour, une maman chameau (une chamelle?) et son petit, tout effrayé de l’intérêt qu’on lui porte. 


L'hôtel et le centre de plongéee...






