Du haut de la montagne, on aperçoit (au retour, vers le soir) les formes argentées des grands barracudas qui chassent le long du récif.
Un chameau est vraiment une créature aussi placide qu’étrange. Le plus étonnant je trouve sont ces pattes, dotées de coussinets mous (un peu comme ceux d’un chien, en nettement plus rude et à trois gros doigts) et non de sabots, comme on pourrait s’y attendre. Ce sont de solides bêtes de somme capable de transporter 4 bouteilles d’air en aluminium de 12 litres plus une personne sur leur bosse. Par contre ça n’avance pas vite, guère plus qu’un bédouin au pas. Donc vraiment pas vite.
Ce qui laisse le temps d’admirer le paysage.
Arrivée au village bédouin. Dahab devait ressembler à ça il y a une trentaine d’année. Spectacle surréaliste d’une bédouine en train de nourrir un chameau… de morceau de carton qu’elle déchire au fur et à mesure. Bon app’.
Même les incinérateurs de déchets sur patte ont droit à un petit rafraîchissement parfois.
1 comment:
Tu as une de ces passions pour les dromadaires..............
;->
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